hopital
Pour lire l'intégralité de cet article,
abonnez-vous au Courrier des Maires - édition Abonné
Pour lire l’intégralité de cet article, tester gratuitement le Courrier des Maires - édition AbonnéHôpitaux, tribunaux, casernes, postes... Le «redéploiement » des services publics, souvent synonyme de fermetures pour les territoires en déshérence et peu denses, inquiète. Elus et habitants sont en attente de solutions locales, mais surtout nationales.
Une semaine après le lancement mi-janvier du grand débat national, les députés votaient la loi de programmation 2018-2022 et de réforme de la justice. Ce texte autorise la garde des Sceaux à fusionner les tribunaux d’instance et de grande instance. Au grand dam de Véronique Louwagie, députée (LR) de l’Orne : « La réduction du nombre de tribunaux, additionnée aux précédentes fermetures de casernes ou d’hôpitaux, fait hésiter des jeunes ménages à s’installer chez nous. » Sans compter la désertification médicale, ravageuse pour l’attractivité du monde rural. « Arrêter de rationaliser les mètres carrés de services publics, depuis Paris, au préjudice des territoires non métropolitains : c’est tout le sens des revendications des gilets jaunes. Que le gouvernement planifie ses politiques de manière globale, soit. Mais il ne doit pas se soumettre aux comptables de Bercy obnubilés par leurs tableurs Excel ! » enchaîne le maire (PS) de Marennes-Hiers-Brouage, Mickaël Vallet.[…]
Pour lire la totalité de cet article, abonnez-vous
Déjà abonné ?
Besoin d’aide pour vous connecter ?
Contactez-nous au +33 1 79 06 70 00 (du lundi au vendredi de 8h30 à 17h30)
ou à l’adresse suivante : abonnement@groupemoniteur.fr