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L'entêtant refrain du cumul

Aurélien Hélias
L'entêtant refrain du cumul

Quelques 2000 maires réunis le 21 novembre au soir à l'Elysée pour un discours d'Emmanuel Macron suivi de questions-réponses

© @alainchretien

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C'est une petite musique discrète, mais qui devient entêtante à force d'être entonnée, à un an des élections municipales de mars 2020. Du Palais-Bourbon aux couloirs de l'Elysée, du Sénat à Matignon, on s'interroge de plus en plus ouvertement : et si l'abolition du cumul des mandats avait été une erreur ? Une intuition qui ne résiste pourtant pas à l'épreuve des faits et qui sert avant tout de paravent aux élus nationaux, parlementaires comme ministres, qui n'ont pas senti monter la grogne économique et sociale des gilets jaunes...

C'est une petite musique discrète, mais qui devient entêtante à force d'être entonnée. Du Palais-Bourbon aux couloirs de l'Elysée, du palais du Luxembourg à Matignon, on s'interroge - prudemment - mais de plus en plus ouvertement : et si l'abolition du cumul des mandats avait été une erreur ? Comment ne pas voir dans l'absence d'anticipation, puis de réaction première aux manifestations des gilets jaunes une « déconnexion » des parlementaires avec le terrain ?

Au nom de la proximité

Dès la première étape de sa tournée auprès des maires, Emmanuel Macron évoquait ce « besoin de pouvoir sentir ce qui se passe dans le territoire » et l'hypothèse de permettre aux parlementaires « de ré-avoir des mandats[…]

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