Location d'un meublé de tourisme type AirBnb
© Adobe Stock
Pour lire l'intégralité de cet article, testez gratuitement
le Courrier des Maires - édition Abonné
La reprise du tourisme, indispensable pour assurer la survie de nombre de professionnels du secteur, fait également office de test grandeur nature pour les plateformes de réservation de locations de courte durée. Car si les flux touristiques drainés par Abritel, Airbnb ou Booking profitent à divers groupes d’intérêts du territoire, leur développement divise encore localement. Alors que les conflits d’usages guettent, certains élus revendiquent se tenir sur une ligne de crête pour éviter la guerre de tous contre tous…
Voici plusieurs semaines que les professionnels de la restauration, de l’hôtellerie et les gérants d’équipements culturels sont à pied d’œuvre. A l’instar des élus, qui soignent l’attractivité de leurs territoires pour attirer un maximum de voyageurs possible à l’approche de l’été. Tous attendent de pied ferme leur retour, synonyme de reprise des dépenses touristiques pour les uns, et d’encaissement des recettes fiscales afférentes par les autres. Pour fixer les vacanciers sur place, une grande partie d’entre eux compte sur les plateformes de réservation de locations de courte-durée.
« Partenaire de long-terme » auto-revendiqué des collectivités, Airbnb le sait et dit d’ailleurs vouloir contribuer à[…]
Pour lire la totalité de cet article, abonnez-vous
Déjà abonné ?
Besoin d’aide pour vous connecter ?
Contactez-nous au +33 1 79 06 70 00 (du lundi au vendredi de 8h30 à 17h30)
ou à l’adresse suivante : abonnement@groupemoniteur.fr