Le maire face au Covid-19
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Pour lire l’intégralité de cet article, tester gratuitement le Courrier des Maires - édition AbonnéFace à la flambée épidémique Omicron qui gagne la France, l’exécutif est dans l’obligation de se projeter sur un sujet délicat : l’organisation de l’élection présidentielle d’avril « sous covid ». Entre obstacles législatifs et risques politiques, le gouvernement n’a qu’une marge de manœuvre limitée, et finalement très peu d’outils pour vaincre cet autre fléau qui sape notre vie démocratique : l’abstention. Le point sur ce que l’on sait à trois mois des dates fixées pour le scrutin.
Dates du scrutin : inchangées !
L’exécutif ne bousculera pas le calendrier électoral calé il y a plusieurs mois déjà et maintiendra donc les dates d’élection prévues, à savoir les 10 et 24 avril. « Aucun projet de report de la présidentielle d’avril 2022 n’est ni sur la table, ni en dessous de la table, ni dans le placard à côté de la table » a tenu à préciser le porte-parole du gouvernement, Gabriel Attal tout fin décembre.
Outre le risque politique à changer la date d’une élection pour du chef de l’Etat à trois mois du premier tour, Benjamin Morel, maître de conférence en droit public à l’université Paris 2-Assas, souligne les difficultés « constitutionnelles » soulevées par un éventuel report qui[…]
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