Sébastien Miossec, vice-président d'Intercommunalités de France, lors de la clôture fin mai de la Journée des présidents d'intercommunalités.
© Intercommunalités de France
Pour lire l'intégralité de cet article,
abonnez-vous au Courrier des Maires - édition Abonné
Pour lire l’intégralité de cet article, tester gratuitement le Courrier des Maires - édition AbonnéLe déficit démocratique des communautés d’agglomération et métropoles devrait à nouveau s'immiscer, tôt ou tard, dans les débats de France urbaine et d'Intercommunalités de France. Après une poignée d’élus et une partie de la société civile regrettant déjà l'occasion manquée de débattre des enjeux structurants lors des élections locales 2020, une vingtaine de chercheurs est revenue à la charge, au printemps 2023, dans « Politiser l’intercommunalité ? » Non sans arguments. Faute d'élection au suffrage universel direct de leur président, le huis-clos intercommunal condamnerait ces instances à l'impuissance politique. Le président (PS) de l’agglomération de Quimperlé, et président délégué d’ « Intercos de France », Sébastien Miossec, leur répond.
Courrier des maires : À l'approche de la mi-mandat, les intercommunalités ont-elles progressé d'un point de vue strictement démocratique ?
Sébastien Miossec : L’intercommunalité, pour rappel, c’est un outil de coopération entre maires autour d’enjeux politiques ne pouvant être strictement appréhendés à l’échelle communale : développement économique, eau, logement, mobilités, transition écologique, etc. La nature intrinsèque de ma mission, en tant que président de l'agglomération de[…]
Pour lire la totalité de cet article, abonnez-vous
Déjà abonné ?
Besoin d’aide pour vous connecter ?
Contactez-nous au +33 1 79 06 70 00 (du lundi au vendredi de 8h30 à 17h30)
ou à l’adresse suivante : abonnement@groupemoniteur.fr