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le Courrier des Maires - édition Abonné
A deux semaines du Congrès des maires, du 21 au 24 novembre, l’Association des maires de France affiche la couleur : pas question de lâcher quoi que ce soit sur ses demandes, qu’elles soient financières ou au bénéfice de la liberté d’action des communes. Car l’AMF déplore la détérioration du « pouvoir d’agir » des municipalités.
Lutter contre « l’impuissance publique » : voici résumé par le président de l’association des maires de France, David Lisnard, le but premier du Congrès des maires qui se tiendra à Paris du 21 au 24 novembre. Et pour le maire (LR) de Cannes, cette impuissance a une explication : la volonté de l’Etat de contraindre les collectivités locales dans leur action. « La cause de l’incivisme, c’est l’impuissance publique. On ne résoudra pas ce problème si les maires sont entravés dans leur action. C’est pourquoi nous voulons dénoncer ET proposer », ambitionne le patron de l’association d’élus.
Alors l’AMF compte bien obtenir de l’exécutif, qui sera représenté par au moins un ministre à chaque table ronde thématique et forum Porte de Versailles, des réponses. « Défi de la transition énergétique, défi écologique, numérique, économique ; crise civique qui se traduit par des taux[…]
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