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Pour lire l’intégralité de cet article, tester gratuitement le Courrier des Maires - édition AbonnéAprès six semaines de flottement, une circulaire interministérielle, publiée mardi 13 décembre, donne un cadre pour la tenue des festivals et galas sportifs de l’été 2024, au moment où Paris et une partie du pays accueilleront les Jeux olympiques, accaparant les forces de sécurité. Le principe : les grands événements pourront bien être maintenus partout dans l’Hexagone... en dehors d’une période d’une quarantaine de jours. Retour sur ce compromis obtenu après la mobilisation des élus locaux... et les questions qui restent en suspens.
Nous sommes le 25 octobre et le ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin est invité au Sénat pour évoquer les questions de sécurité pour les JO de 2024. Au détour d’une phrase, le ministre annonce la nécessité « d’annuler ou de reporter les grands événements qui demandent des unités de forces mobiles » sur une vaste période allant de juin à octobre 2024. Il cite alors le Tour de France ou la Grande braderie de Lille…
« À ce moment-là, c’est la stupeur car il n’y a eu aucune concertation en amont de cette déclaration, se souvient Frédéric Hocquard maire adjoint de la ville de Paris en charge du tourisme et président de la Fédération nationale des collectivités pour la culture (FNCC),[…]
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