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Pour lire l’intégralité de cet article, tester gratuitement le Courrier des Maires - édition AbonnéCertaines intercos rurales innovent avec de véritables politiques intégrées en faveur des jeunesses, offrant des lieux de rencontre, soutenant des projets, accompagnant à la formation et l’emploi… Le tout non sans moyens humains et financiers.
« Beaucoup de décideurs ont une vision négative de la jeunesse », regrette Kamel Rarrbo, sociologue-consultant en politiques jeunesse et territoires. Pour certains élus locaux en effet, les jeunes, ce seraient avant tout le désœuvrement, des conduites à risques, des dégradations, etc. Est-ce pour ces raisons que, si à l’issue des fusions de la carte intercommunale, la compétence enfance et jeunesse a été reprise par les EPCI à 61 %, et partiellement à 39 % (1), le transfert ne concerne souvent que les accueils de loisirs sans hébergement (ALSH) ? Au regard, les politiques globales en faveur de la jeunesse (12-25 ans) s’avèrent « très inégalitaires entre les territoires », glisse Kamel Rarrbo.
Pourtant, selon ce dernier, « engager une politique jeunesse, c’est basculer dans une représentation plus positive et considérer la jeunesse d’abord comme une ressource ». Si on veut un avenir pour la ruralité, comment ignorer la jeunesse ? L’intercommunalité semble bien placée pour[…]
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