Jean-Louis Marsac, maire de Villiers-Le-Bel
© mairie de Villiers-Le-Bel
Pour lire l'intégralité de cet article, testez gratuitement
le Courrier des Maires - édition Abonné
Portrait de Jean-Louis Marsac, maire (DVG) de Villiers-le-Bel (Val-d’Oise), qui a fait de la rénovation urbaine de sa commune, où les trois quarts des habitants vivent en quartiers politique de la ville, et de la préservation des services publics locaux, un combat quotidien.
La photo aérienne de Villiers-le-Bel est posée au sol dans son bureau de l’hôtel de ville. « Regardez, la ville est coupée en deux ! pointe Jean-Louis Marsac. D’un côté, on a le vieux village et les cités Puits-la-Marlière (PLM), La Cerisaie et Derrière-les-Murs-de-Monseigneur (DLM). De l’autre, le secteur pavillonnaire Charmettes, la cité Les Carreaux et la gare. Et, au milieu, des lignes à haute tension et un immense tuyau de gaz qui alimente Paris. Une fracture. » Le mot est lâché. Les années ont passé depuis sa première élection en 1995 comme maire adjoint puis son intronisation en 2012 au poste de maire, mais Jean-Louis Marsac a toujours en travers de la gorge l’ineptie des bâtisseurs d’hier.
« C’est la Caisse des dépôts qui a financé l’urbanisation, rappelle l’ancien ouvrier d’Alstom, toujours syndiqué à la CFDT. Il y a eu les Carreaux dans les années 1950-1960, PLM dans les années 1960 et DLM dans les années 1970. On est passé de 5[…]
Pour lire la totalité de cet article, abonnez-vous
Déjà abonné ?
Besoin d’aide pour vous connecter ?
Contactez-nous au +33 1 79 06 70 00 (du lundi au vendredi de 8h30 à 17h30)
ou à l’adresse suivante : abonnement@groupemoniteur.fr