euros-symbole
© Phovoir
Pour lire l'intégralité de cet article, testez gratuitement
le Courrier des Maires - édition Abonné
Affectées économiquement par la crise sanitaire, les communes et intercos vont devoir redoubler d’inventivité pour financer leurs investissements et leurs projets de plans de relance locaux. Même si l'appui financier de l'Etat et l'accès à un crédit peu cher semblent promis aux exécutifs locaux volontaristes...
Le tableau est sombre : selon les calculs de l’AMF, les pertes fiscales du bloc local engendrées en 2020 par la crise sanitaire représenteront 2,2 milliards d’euros et les pertes tarifaires 2,3 milliards. Dans la première catégorie, ce sont les droits de mutation, taxes de séjour, d’électricité et d’aménagement qui seraient touchées. Dans la seconde, le stationnement payant, les droits d’entrées des piscines, musées, et de tous les équipements sportifs et culturels, les campings municipaux… S’y ajoutent plusieurs services publics locaux restés désespérément vides deux mois durant : restauration scolaire, crèches, centres de loisirs, etc.
Même pour les intercos, qui auront « la chance » de bénéficier de 200 millions d’euros de la cotisation sur la valeur ajoutée des entreprises (CVAE) en plus cette année par rapport à 2019, ce n’est que reculer pour mieux sauter : « On dit que ce sont surtout les[…]
Pour lire la totalité de cet article, abonnez-vous
Déjà abonné ?
Besoin d’aide pour vous connecter ?
Contactez-nous au +33 1 79 06 70 00 (du lundi au vendredi de 8h30 à 17h30)
ou à l’adresse suivante : abonnement@groupemoniteur.fr