Rivière de la Sorgue en crue dans le Vaucluse
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le Courrier des Maires - édition Abonné
Entre volonté de développement et obligation de prévention, comment communiquer sur le risque envers les touristes de passage ? Comment accompagner les acteurs du secteur à prendre en compte ce facteur ?
Les zones les plus touristiques sont aussi celles les plus soumises aux aléas naturels. Comment développer la culture du risque auprès d’une population de passage ? La question, « encore peu abordée » regrette Amandine Berger, chercheuse en gestion du risque était toutefois abordée aux dernières Assises nationales des risques naturels, fin mars, à Montpellier. « L’enjeu est de faire sortir le risque du seul giron des administrations et des collectivités », décrypte la chercheuse, membre de l’Association française pour la prévention des catastrophes naturelles (AFPCN).
A la Faute-sur-Mer, huit ans après la tempête Xynthia, le maire estime que la commune a retrouvé son attractivité touristique - excepté en nombre d’hébergements. Pour maintenir la notion de risque chez les touristes, malgré les digues surélevées, Patrick Jouin, a fait installer des pistes cyclables. « En amenant les touristes là-haut, ils se rendent compte des risques », estime-t-il. Les opérateurs, comme les campings, eux, sont informés au plus près des[…]
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