Territoires
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Pour lire l’intégralité de cet article, tester gratuitement le Courrier des Maires - édition AbonnéDans le sillage d’un Etat, dont l’implication locale reste variable, les collectivités doivent encore apprendre à coopérer entre elles. Sous peine que la notion de justice territoriale ne reste à l’état de simple injonction.
Dans une République décentralisée, l’Etat n’est pas le seul acteur public à se battre contre le creusement des fractures territoriales. Se plaçant dans les pas de la présidence Hollande en matière d’égalité des territoires, Emmanuel Macron et son ministre Jacques Mézard ne cessent de rappeler aux intercommunalités et aux régions leurs responsabilités héritées de la dernière réforme territoriale, lois Notre et Maptam. Il s’agit pour le binôme de veiller dorénavant à un maillage territorial cohérent entre métropoles, villes moyennes et territoires ruraux, mais aussi de flécher davantage que par le passé leurs investissements et une partie des fonds européens vers les territoires - urbains ou ruraux - les plus en difficulté ou encore de soutenir les démarches de développement endogène.
« Les maires doivent arrêter de regarder ce qu’ils peuvent quémander à l’échelon au-dessus, mais plutôt imaginer un projet de territoire ambitieux, à partir de leurs potentiels économiques, culturels et[…]
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