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« Il est temps d'en finir avec le recrutement discrétionnaire des collaborateurs de cabinet »

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« Il est temps d'en finir avec le recrutement discrétionnaire des collaborateurs de cabinet »

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Mal connus et souvent sujets à fantasmes, les métiers de collaborateurs de cabinet auprès d’élus territoriaux souffrent encore de plusieurs « zones d’ombres », pointe Sébastien Bénétullière. Dans une note rédigée pour l’Observatoire de l’éthique publique (OEP), ce directeur de cabinet à la communauté de communes de Miribel et du Plateau (Ain) appelle à revoir de fond en comble les processus de recrutement.

« Voile d’opacité », « clair-obscur », etc. Les qualificatifs changent au gré de sa note, mais l’idée reste la même tout au long d’une quinzaine de pages. L’activité des membres de cabinets, officiellement chargés de conseiller les élus locaux et de s’assurer que leurs décisions déboucheront sur des succès politiques, reste mal connue et n’apparaît pas forcément légitime. Directeur de cabinet au profil plus technique que militant, docteur en droit et membre du conseil scientifique de l’Observatoire de l’éthique publique, Sébastien Bénétullière livre un plaidoyer assorti de huit propositions ambitieuses pour réguler son propre corps de métier.

Le Courrier des maires : Quel est le sens de cet appel à « renforcer le statut des collaborateurs de cabinet », à peine les nouveaux élus entrés en fonction[…]

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