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Pour lire l’intégralité de cet article, tester gratuitement le Courrier des Maires - édition AbonnéTout en se disant d’accord avec le Gouvernement sur le principe d’une révision du point d’indice de +1,5 % en faveur des agents, les employeurs territoriaux pointent du doigt des mesures non concertées, un timing inadéquat et de nouvelles charges non compensées pour les collectivités locales.
C’est une petite musique déjà entendue en juillet 2022 lors de la dernière révision, plus conséquente alors (3,5%), du point d’indice : les associations d’élus approuvent le principe - relever les salaires des fonctionnaires surtout en cette période d’inflation persistante – mais condamnent la méthode, jugée unilatérale. Comme un symbole de cette méthode contestée, France urbaine regrette « que la volonté de réserver la primeur de ces annonces aux organisations syndicales l’après-midi se soit traduite par un écart très important entre le niveau de précision des hypothèses évoquées le matin-même avec les employeurs et celui des annonces faites aux syndicats l’après-midi, apprises par voie de presse ».
Mais c’est plus encore le timing de ces annonces qui dérange, l’association des grandes villes et métropoles déplorant ainsi « les conditions dans lesquelles ces annonces ont été faites et les limites d’une politique de[…]
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