Le débat dédie au grand âge lors du 103e congres des maires à Paris le 16 novembre 2021
© Fabien Calcavechia
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Pour lire l’intégralité de cet article, tester gratuitement le Courrier des Maires - édition AbonnéSi la crise du Covid-19 a permis de mettre en lumière les problématiques d’isolement et de vulnérabilité des personnes âgées, souvent oubliées dans les politiques publiques nationales, l’enjeu est aujourd’hui de dépasser le stade des « bonnes volontés » locales pour entrer dans celui du droit commun. Par le biais du logement adapté, les maires ont aussi leur carte à jouer.
530 000 personnes âgées seraient en France en état de « mort sociale » c’est-à-dire sans (ou presque sans) lien familiaux, de voisinage ou associatifs. Selon Yann Lasnier, délégué général des « Petits Frères des Pauvres » à l’initiative de l’élaboration de cette statistique, la situation s’est nettement aggravée en quelques années : « Nous sommes passés de 300 000 à 530 000 morts sociaux entre 2017 et 2021. Et entre ces deux dates, il y a eu le Covid », a-t-il témoigné au Congrès des maires le 16 novembre lors de la table ronde dédiée à la prise en charge du grand âge.
Les initiatives locales au chevet des anciens
Cibles privilégiées du virus pulmonaire, les personnes âgées ont été les premières victimes de la crise sanitaire. Mais elles ont été également très éprouvées par les confinements qui en ont découlés.[…]
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