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Pour lire l’intégralité de cet article, tester gratuitement le Courrier des Maires - édition AbonnéAlors que l’artificialisation des sols s’est poursuivie à un rythme décorrélé de toute logique en France, en 2022, une note publiée par le think-tank Terra Nova resitue l’ensemble des rivalités d’usages dont fait aujourd’hui l’objet cette ressource. Entre agrophotovoltaïsme, périurbanisation et ré-industrialisation, la pression ne devrait pas diminuer de sitôt, alerte l’experte Ophélie Risler. Une situation qui devrait engendrer des problèmes en cascade en matière de lutte contre le réchauffement climatique et de préservation de l’environnement. A quand des Assises des sols, pour une gestion foncière plus prudente, préservant à minima les terres les plus fertiles ?
Les terres agricoles, forestières et naturelles ne servent pas qu’à bâtir des entrepôts de e-commerce, des lotissements périurbains et des ronds-points. Il s’agit aussi d’une ressource naturelle indispensable pour absorber nos rejets de gaz à effet de serre, développer les énergies renouvelables, préserver la biodiversité, recycler l’eau, s’alimenter, rappelle dans une liste non-exhaustive Ophélie Risler.
Dans une note d’une trentaine de pages publiée fin novembre par le think-tank Terra Nova, cette ancienne cadre du ministère de l’Ecologie met en garde contre l’
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