friche industrielle à Caen
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Pour lire l’intégralité de cet article, tester gratuitement le Courrier des Maires - édition AbonnéIndustrielles, urbaines ou artisanales, les friches ont peu à peu été rattrapées par les habitations. La reconversion de ces espaces abandonnés est un enjeu majeur pour préserver les espaces naturels et agricoles.
«Qu’on m’explique comment mener des projets d’aménagement sans consommer d’espaces naturels ! », lançait récemment un élu en conspuant l’objectif « zéro artificialisation nette » (ZAN) des sols. La solution passe sûrement en partie par la reconversion des friches.
La première difficulté est de connaître précisément ce gisement national, estimé à 150 000 ha. Le travail d’inventaire lancé en mai a permis de dénombrer 2 400 sites. Une plateforme en ligne est en cours de développement pour les signaler aux porteurs de projets.
Secrétaire d’Etat à la Transition écologique et solidaire, Emmanuelle Wargon, a lancé en juin un groupe de travail sur la réhabilitation des friches. La première proposition concrète, annoncée le 7 novembre lors du Conseil de défense écologique, est la sélection de cinq projets de réhabilitation « pilotes d’une démarche globale » : Montreuil, Aytré et trois sites militaires (Creil, Toulouse, Drachenbronn).
Par ailleurs, une étude de l’Ademe, publiée en mai dernier, a mis en[…]
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