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Pour lire l’intégralité de cet article, tester gratuitement le Courrier des Maires - édition AbonnéIl y a dix ans encore, les petites et moyennes villes apparaissaient à peine sur les cartes des réseaux de franchises ou succursalistes. Les temps ont changé et les communes n’hésitent plus à proposer des services cousus main pour se démarquer.
C’est une forme de revanche. Les petites et moyennes villes ne signifient plus investissements de grand péril aux yeux des développeurs de réseaux de franchises ou d’enseignes succursalistes. Au contraire même, abonde Pierre Fleury, à la tête d’un cabinet de géomarketing, « l'idée selon laquelle les franchises sont réservées aux grandes villes est en train de disparaître ».
Si la crise sanitaire a pu lever quelques a priori, d’autres facteurs propres aux commerces sont principalement à l’œuvre dans cette mue favorable aux territoires intermédiaires.
Croître, un impératif
Le premier tient à la vie même de l’enseigne et à son développement. « Pour continuer à exister, une enseigne est presque condamnée à grandir. Un réseau de franchises qui s’arrêterait à un certain nombre d’unités se mettrait en difficulté vis-à-vis de la concurrence, développe Pierre Fleury. Donc, si l’enseigne est née dans une grande ville, elle va au fil des années étendre son filet et[…]
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