© Adobe Stock
Pour lire l'intégralité de cet article,
abonnez-vous au Courrier des Maires - édition Abonné
Porté de 1,5 milliard d’euros à deux milliards après l’annonce récente de la secrétaire d’Etat chargée de l’écologie, Bérangère Couillard, le fonds vert devrait profiter aux collectivités sans appels à projet, de manière souple et avec un appui à l'ingénierie. Explications.
C’est la grande interrogation des élus locaux soucieux du financement de la transition écologique depuis l’interview donnée par La Première ministre au Parisien le 28 août : comment fonctionnera le « fonds vert » promis par la Première ministre ? Depuis cette annonce, il faut tendre l’oreille à chaque intervention ministérielle pour en savoir un peu plus. Dernière en date : celle de la secrétaire d’Etat à l’écologie Bérangère Couillard qui, lors de la présentation de sa feuille de route au Zoo de Beauval le 11 octobre, a annoncé que ce fonds serait finalement porté à deux milliards d’euros. Soit la concrétisation d’une autre annonce préalable, plus nébuleuse, celle de la cheffe du Gouvernement Elisabeth Borne qui avait annoncé le 6 octobre à Bordeaux aux intercommunalités réunies en congrès qu’« entre 300 et 500 millions d’euros supplémentaires » pourraient « soutenir [leurs] investissements au travers du fonds vert », une rallonge[…]
Pour lire la totalité de cet article, abonnez-vous
Déjà abonné ?
Besoin d’aide pour vous connecter ?
Contactez-nous au +33 1 79 06 70 00 (du lundi au vendredi de 8h30 à 17h30)
ou à l’adresse suivante : abonnement@groupemoniteur.fr