Murielle Fabre, secrétaire générale de l'AMF
© fabien calcavechia
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Pour lire l’intégralité de cet article, tester gratuitement le Courrier des Maires - édition AbonnéCrise des vocations, attractivité des métiers en berne, ressources financières insuffisantes des collectivités locales : l’Association des maires de France alerte sur la difficulté des employeurs publics locaux à recruter. Une question de méconnaissance des métiers de la territoriale, mais également de ressources pour financer ces postes, assurent la secrétaire générale de l’AMF, Murielle Fabre (photo) et François Deluga, président du CNFPT, qui ont sonné l'alerte le 23 novembre au Congrès des maires.
« Réenchanter la Fonction publique territoriale » : c’est l’objectif ambitieux qu’affiche Murielle Fabre, secrétaire générale de l’Association des maires de France. Une formulation un brin lyrique mais qui cache un véritable enjeu de ressources humaines et de qualité des services publics locaux. Car si les postes sont là, les candidatures manquent. « Dans ma commune, il y a 14 postes où je ne trouve personne, soit 2 % de mes effectifs : un mécanicien, un chef jardinier, un comptable, un chef urbaniste et huit personnes sur l’aide à la personne au CCAS, illustre François Deluga, président du CNFPT et maire du Teich (Gironde). « Au point que se pose la question d’arrêter les services à la personne sinon on va vers la maltraitance[…]
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