Fermée aux voyageurs depuis 1973, la ligne Rive droite du Rhône – reliant Pont-Saint-Esprit, Bagnols-sur-Cèze, Avignon et Nîmes – a rouvert le 29 août dernier. Une première en France depuis 2016.
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Pour lire l’intégralité de cet article, tester gratuitement le Courrier des Maires - édition AbonnéAlors que les financements nationaux affectés aux petites lignes de chemin de fer ne sont pas encore précisément connus, les régions volontaristes sont appelées à jouer un rôle croissant pour soutenir le réseau. Et, à terme, y faire circuler des trains légers, l’atout en devenir des lignes reliant les petites villes.
La France compte 9 100 kilomètres de lignes de desserte fine du territoire (LDFT), soit pas moins de 30 % du réseau ferré, ouvertes aux voyageurs et au fret. Problème : ces lignes, dans un état très hétérogène, « nécessitent un effort de régénération considérable. Actuellement, les circulations sont, à défaut, suspendues sur 500 kilomètres », avance SNCF Réseau. Le premier défi pour l’opérateur, estime David Valence, président du Conseil d’orientation des infrastructures (COI), est donc de trouver des financements pour « maintenir et moderniser ces LDFT ».
100 milliards pour quoi ? Depuis une dizaine d’années, leur rénovation était financée par les contrats de plan Etat-région (CPER) et SNCF Réseau. « Près de 2 milliards d’euros ont été investis entre 2017 et 2022 pour rouvrir ou régénérer près de 2 000 kilomètres de ces LFDT, avec deux petites lignes rouvertes : Oloron-Sainte-Marie –[…]
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