Tirage au sort
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Pour lire l’intégralité de cet article, tester gratuitement le Courrier des Maires - édition AbonnéPour lancer le grand débat national, Emmanuel Macron s’interroge dans sa lettre aux Français sur le tirage au sort de citoyens non élus pour participer à la décision publique. Projet salvateur ou simple chimère ? Jo Spiegel, maire (Place publique) de Kingersheim et Philippe Laurent, maire (UDI) de Sceaux en débattent.
« Je me base sur les listes d’état civil pour permettre à toute personne qui paie des impôts locaux de participer au devenir de sa ville »
Jo Spiegel, maire (Place publique) de Kingersheim (Haut-Rhin)
[caption id="attachment_80053" align="alignleft" width="300"] Jo Spiegel, maire (Place publique) de Kingersheim (Haut-Rhin)[/caption]
"Le tirage au sort est un outil pour assurer davantage d’égalité démocratique. Les gens qui participent au processus de décisions sont toujours les mêmes. Avec le tirage au sort, chaque personne peut être susceptible d’être partie prenante de la construction du bien commun. Dans ma commune, lors des conseils participatifs pour les grands projets, je procède à un tirage au sort pour 40 % du collège des habitants ; 100 % découragerait toutes les personnes qui veulent s’engager. Or, le déficit démocratique est aussi un déficit d’engagement dans les causes communes.
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Stephane - 28/04/2019 21h:21
Pourquoi ne pas tirer au sort des gens intéressés par cette fonction?...une liste serait à creeer sur la demande de chaque citoyens, en mairie par exemple.
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