© Georges Vignal (Bpifrance)
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Pour lire l’intégralité de cet article, tester gratuitement le Courrier des Maires - édition AbonnéPlus d’un mois après avoir été renouvelé dans ses fonctions de directeur de la Banque publique d’investissement (Bpifrance), poste qu’il occupe depuis la création de cette institution en 2013, Nicolas Dufourcq réitère croire dur comme fer dans la réindustrialisation. Un discours mobilisateur et résolument optimiste, faisant écho à celui de l’exécutif. Répondant aux critiques en hyper-centralisation diffusées par Intercos et Régions de France, cet Inspecteur des finances tente d’embarquer un maximum d'élus dans la cause, en vantant les vertus de l’industrie en termes de création de richesses, de rééquilibrage territorial mais aussi sur le plan politique ou social. Interview.
Haut-fonctionnaire passé par Capgemini et France Télécom avant de revenir à la tête de la BPI, institution financière codétenue par la Caisse des dépôts (CDC) et l’Etat français, Nicolas Dufourcq n’a cessé de naviguer entre le monde économique et politique. Il a publié « La désindustrialisation de la France, 1995-2015 » l’an dernier (éditions Odile Jacob, 384 pages, 27,90€) – diagnostic tiré d’entrevues avec des patrons, politiques et syndicalistes –, et sera chargé pour les cinq années à venir de faciliter les projets d’implantation ou de[…]
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