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Facture énergétique : la géoénergie, un enjeu d’avenir pour les collectivités

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Facture énergétique : la géoénergie, un enjeu d’avenir pour les collectivités

Chantier Celsius Energy

Décarboner le chauffage et la climatisation tout en réalisant des économies, c’est possible grâce à la géoénergie qui consiste à connecter les bâtiments à l’énergie continue et renouvelable de la Terre. Une solution mature et efficiente, adaptée aux besoins des municipalités.

Depuis 2021, la flambée des prix de l’électricité et du gaz impacte lourdement les finances locales. Les factures énergétiques doublent, voire triplent, poussant certaines communes à fermer des équipements, comme les piscines. Dans ce contexte, le développement des énergies renouvelables fait partie des pistes avancées par le rapport de la délégation aux collectivités territoriales du Sénat, publié en juillet 2022. Performante et 100 % locale, la géoénergie apparaît comme l’outil du bâtiment durable et de l’efficacité énergétique. La réduction des factures d’énergie est estimée à un montant divisé par deux minimum et ce, dès la première année.

Une énergie locale pour répondre aux enjeux climatiques et énergétiques

Le principe de la géoénergie, également appelée géothermie de surface : capter l’énergie située dans les 200 premiers mètres du sous-sol et la restituer au niveau de température désiré par le biais d’une pompe à chaleur (PAC) géothermique. En hiver, la chaleur prélevée dans le sol permet de chauffer le bâtiment. L’été, c’est l’inverse : la chaleur du bâtiment est transférée dans le sous-sol, permettant son rafraîchissement sans contribuer aux îlots de chaleur urbain.

Disponible sur 90 % du territoire, il s’agit de la seule énergie renouvelable disponible en continu, quelles que soient les conditions climatiques. Côté efficacité énergétique, ses résultats sont très performants : avec 1 kWh électrique alimentant la pompe à chaleur, les systèmes de géoénergie fournissent 4 kWh de chaleur, 6 kWh de froid actif (climatisation) ou 30 kWh de froid passif (dit «geocooling»).

Les capacités et bénéfices de la géoénergie en font une solution bas carbone efficiente, parfaitement alignée sur les exigences du décret tertiaire et de la RE2020.

Innover pour simplifier l’accès à cette énergie

Celsius Energy, entreprise du portfolio Nouvelles Energies du groupe Schlumberger, a développé une solution clé en main qui intègre toutes les phases du projet de géoénergie, de l’étude des besoins énergétiques à l’implantation du système. Installée en quelques mois, la solution simplifie l’accès à la géoénergie pour les bâtiments neufs comme existants tels que bureaux, hôpitaux, établissements scolaires, crèches ou gymnases, y compris en milieu urbain dense. Cette solution s’appuie en effet sur un procédé de forage en étoile qui réduit l’emprise au sol par rapport à une installation classique, limitant l’impact sur l’environnement et la biodiversité. Le dispositif inclut un outil de pilotage numérique qui permet de suivre la consommation et d’optimiser les performances énergétiques de l’installation. À la clé : une consommation d’énergie divisée par 4 par rapport à une solution gaz, une meilleure maîtrise de ses factures face à la volatilité des prix énergétiques, et une réduction drastique des émissions de carbone (jusqu’à - 90 % par rapport à une solution gaz).

De forts potentiels sur le territoire

Suscitant un intérêt grandissant depuis la crise énergétique, l’essor de cette grande oubliée des énergies renouvelables ne fait que commencer. En Ile-de-France par exemple, on estime à 900 le nombre d’installations de géothermie de surface, uniquement au sein de la Métropole du Grand Paris. Dans le cadre du Plan Climat Air Énergie Métropolitain (PCAEM), le Bureau de recherches géologiques et minières (BRGM) et la Métropole du Grand Paris, avec l’appui de l’ADEME et en partenariat avec l’Atelier parisien d’urbanisme (APUR), ont identifié les zones favorables au développement de la géothermie pour réchauffer ou refroidir les bâtiments. D’après le rapport, « le potentiel calorifi que du sous-sol dans les 131 communes métropolitaines y est jugé considérable. […] À l’échelle de la Métropole du Grand Paris, la consommation actuelle en énergie thermique (chauffage, eau chaude sanitaire, climatisation) est estimée à 50,94 TWh par an. Selon l’étude menée par le BRGM, la géothermie de surface pourrait en théorie couvrir plus de la moitié de ces besoins, si tous les bâtiments disposaient des systèmes de distribution adéquats exigés par les pompes à chaleur. »

Contenu proposé par Celsius Energy

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