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Pour lire l’intégralité de cet article, tester gratuitement le Courrier des Maires - édition AbonnéDes piscines fermées en 24 heures et des sociétés de restauration collective alarmistes : face à la hausse des coûts, les délégataires mettent la pression. Les élus doivent-ils répondre à leurs exigences ?
Début septembre, l’annonce de Vert marine a fait l'effet d'une bombe : face à l'explosion du coût de l’électricité pour certains de ses équipements – le directeur général, Jean-Pascal Gleizes évoquait un tarif à 1 000 € le mégawattheure le 8 septembre dans « La Gazette des communes » –, le délégataire ferme une trentaine de piscines, sans préavis. « Si l’on continuait comme ça, nous ne finissions pas l’année, justifiait Jean-Pascal Gleizes. Donc oui, la forme est critiquable et je m’en suis excusé auprès des collectivités. Oui, nous avons des responsabilités vis-à-vis de la continuité du service public et nous sommes en faute par rapport à cette obligation. Mais nous avons aussi une responsabilité sociale avec 2 000 salariés. Nous assumons les conséquences de ces fermetures. »
« Objectivement, l’illégalité de cette décision est flagrante, s’étrangle un spécialiste des concessions, qui ne souhaite pas être cité. Mais le coup de force de Vert marine a fonctionné, c'est délirant ! A ce jour, il[…]
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