Sur le site d’ArcelorMittal, à Fos-sur-Mer, un nouveau four à poche entrera en service en 2024, lui permettant de réduire de 10 % ses émissions de CO2.
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Pour lire l’intégralité de cet article, tester gratuitement le Courrier des Maires - édition AbonnéSans avoir vocation à s’immiscer dans la finalité des activités privées, la politique publique locale peut contribuer à doper les cycles de vie des produits industriels et la valorisation de l’énergie perdue par les entreprises du secteur.
On prête en général deux vertus environnementales à la relocalisation de l’industrie : le fait d’éviter des transports inutiles ; et un meilleur bilan écologique des produits « made in France » en raison de normes plus strictes et d’une électricité décarbonée dans l’Hexagone. Si le premier point ne souffre aucune contestation, le second ne se vérifie que si l’on s’en donne les moyens.
Au-delà de la réglementation nationale et des engagements que prennent eux-mêmes les industriels, les collectivités ont des cartes en main quand elles entendent apporter à cette promesse un peu de consistance.
Ne pas gâcher. « Depuis l’automne 2020, témoigne Émeline Baume, première vice-présidente (EELV) de la métropole de Lyon en charge de l’économie, nous nous sommes efforcés de définir une stratégie globale pour nos activités productives. » Et de rappeler que tous les industriels sont les bienvenus sur le territoire, y compris ceux qui travaillent dans un domaine qui, sur le papier,[…]
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