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La ville balnéaire des Pyrénées-Atlantiques peine à atteindre ses objectifs de construction de logements sociaux. « La loi SRU est une nécessité, mais le mode d’application des sanctions lors des bilans triennaux laisse sceptique », plaide son directeur général adjoint, Bernard Tourret.
La ville la plus chic de l’Atlantique sud est carencée avec 10,72 % de logements sociaux. Mais elle argue qu’elle subit, outre la cherté du foncier (jusqu’à 10 000 euros le m2), une bonne part d’inconstructibilité de son territoire ; 20 % sont reconnus comme tels officiellement, au titre des zones inondables et de la loi aérodrome. « Mais à cela s’ajoutent 30 % situés en loi littoral, qui ne sont pas pris en compte par les services de l’Etat, lesquels font une appréciation au cas par cas, regrette Bernard Tourret, directeur général adjoint. Nous ne sommes pas loin des 50 % d’inconstructibilité qui nous vaudraient une exemption de la loi SRU ».
Pour autant, et pour lever toute ambiguïté, Bernard Tourret se défend de tout scepticisme à l’égard de la loi SRU, et y est encore moins opposé : « La loi SRU [est] une nécessité incontestable dont je suis convaincu ; j’en suis le plus ardent défenseur face au manque de logements[…]
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