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Pour lire l’intégralité de cet article, tester gratuitement le Courrier des Maires - édition AbonnéL’Assemblée nationale vient de voter, dans le cadre de la loi Jeux olympiques 2024, l’ouverture d’une phase d’expérimentation de la vidéosurveillance algorithmique en France. Déjà déployées dans certaines collectivités, ces technologies intéressent autant qu’elles inquiètent de nombreux élus locaux.
« En ce moment, on reçoit des sollicitations chaque semaine. On nous prend un peu pour des vaches à lait », ironise au téléphone, un élu de la petite couronne parisienne. En charge de la sécurité sur sa commune, régulièrement en contact avec des intégrateurs de vidéoprotection, l’élu défend sans problème la vidéosurveillance. Même si aucune étude, à ce jour, ne prouve son impact durable sur la délinquance... « C’est une demande des citoyens, les policiers nous disent que c’est important, on doit le faire ». Et s’interroge, comme d’autres, sur la vidéosurveillance automatisée (VSA), aussi appelée vidéosurveillance algorithmique ou vidéoprotection intelligente, de plus en plus en plus utilisée par les collectivités.
Des questions sur l’efficacité et l’éthique
L’équation est complexe. Ces dernières années, de nombreuses collectivités se sont dotées d’importants dispositifs de vidéo protection.[…]
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