Pour 90 % des Français, les livreurs à domicile sont mal payés (Source : Ifop, pour Hello My Business, mai 2022)
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abonnez-vous au Courrier des Maires - édition Abonné
Pour lire l’intégralité de cet article, tester gratuitement le Courrier des Maires - édition AbonnéFace aux externalités négatives d’Airbnb, Deliveroo, Gorillas, Uber et autre Waze sur le tissu urbain et aux menaces que ces plateformes font peser à plus long-terme sur notre démocratie et notre système social, des élus locaux sonnent le tocsin. Ils ne se contentent plus de réguler cette économie 2.0, pour des raisons souvent plus pragmatiques qu'idéologiques. Du département de Seine-Saint-Denis jusqu’à la ville de Sucy-en-Brie en passant par Grenoble, certains vont même jusqu’à développer un discours politique et soutenir des alternatives, afin de lutter contre l’ubérisation de leurs territoires. De là à servir d’aiguillons à la Commission européenne et à l’Etat français ?
La polémique estivale autour des « dark stores » a fini par connaître son épilogue : ces entrepôts ne pourront plus s’implanter sans l’aval des collectivités. Les élus locaux, appuyés par les chambres de commerce et d'industrie (CCI) et France Urbaine, puis relayés par le ministère de la Ville, ont remporté leur arbitrage contre Bercy. Il ne manque plus qu'un décret pour officialiser ce principe, acté sur le plan politique.
« Plus que la levée de boucliers de dizaines de maires de toutes obédiences politiques contre le quick commerce, c’est la rapidité avec[…]
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