Emmanuel Denis, maire EELV de Tours
© C. CHIGOT / DIVERGENCE
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le Courrier des Maires - édition Abonné
Moins médiatisée que dans d'autres grandes métropoles, la victoire des Verts à Tours est celle d'Emmanuel Denis, issu notamment du milieu associatif. Ville cyclable, contestation de la 5G, démocratisation de la culture... le nouvel édile a déjà commencé à déployer son programme, même s'il faudra faire des compromis avec la gestion de la dette... et avec la métropole.
Doudoune sans manche sur le dos et masque sur le visage, Emmanuel Denis peste contre la mauvaise isolation du bâtiment. Mais la rénovation énergétique de l’hôtel de ville et de son grand bureau, au cinquième étage avec vue sur les toits de Tours, attendra un peu. Pour l’heure, le nouvel édile de Tours, élu à 54 % des voix au second tour en mars dernier, a d’autres dossiers prioritaires.
Après les règnes du centriste Jean Royer (1959-1995) et du socialiste Jean Germain (1995-2014), puis les courtes expériences du LR Serge Babary et du divers droite Christophe Bouchet, la cité tourangelle est tombée pour la première fois dans l’escarcelle des Verts. Une victoire des écolos moins médiatisée qu’à Bordeaux, Lyon ou Strasbourg. Pas de quoi gâcher le plaisir de l’ingénieur Emmanuel Denis, qui se réjouit d’un succès historique : « C’est l’évolution logique de[…]
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