Autoroute
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Pour lire l’intégralité de cet article, tester gratuitement le Courrier des Maires - édition AbonnéPour obtenir des travaux sur les réseaux autoroutiers de leur territoire, les collectivités sont obligées de mettre la main à la poche. Alors que la rentabilité des sociétés d’autoroutes fait toujours polémique...
«Les sociétés d’autoroutes disent : dès qu’il y a investissement, il faut une compensation. Juridiquement cela se tient, politiquement beaucoup moins », résumait Vincent Delahaye, vice-président du Sénat, à la publication du rapport d’enquête sur les concessions autoroutières (lire ci-dessous). Les élus, qui se battent depuis des années pour certains en vue d’obtenir des travaux sur leur territoire, en savent quelque chose. « Nous avons obtenu l’engagement du Grand Lyon en 2016 », se souvient Pascal David, maire de Quincieux (Rhône), qui défend la création d’un échangeur pour délester les voies secondaires.
A l’époque, pour faire avancer le dossier, le Grand Lyon accepte de mettre 10 M€ sur la table, l’autre moitié devant être financée par une hausse des tarifs aux péages. Mais en novembre 2018, le Conseil d’Etat rappelle que ces travaux - figurant dans le contrat d’APRR depuis 1994 - ne peuvent faire l’objet d’une nouvelle compensation (ni hausse des tarifs ni prorogation des contrats). Retour à[…]
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