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Elections : "Il faut jouer le jeu de la transparence avec les électeurs"

La rédaction

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Daniel Lebègue, président de Tranparency International France

© F. Calcavechia

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Trois ans après la promulgation de la loi du 11 octobre 2013 sur la transparence de la vie publique, Daniel Lebègue, président de Transparency International France, en dresse le bilan, avant de se projeter sur les échéances électorales de 2017 et la seconde partie du mandat municipal.

La transparence dans la sphère publique locale a-t-elle progressé ces dernières années ?

Oui, car, avec la loi de 2013, l'exigence accrue de transparence a contraint plus de 5 000 décideurs publics locaux à réaliser une déclaration d'intérêts, rendue publique par certaines collectivités, ainsi qu'une déclaration de patrimoine, transmise à la Haute autorité pour la transparence de la vie publique. La HATVP a rappelé à l'ordre une vingtaine d'élus, transmis au parquet seize dossiers, et on a vu la première condamnation définitive d'un sénateur, président de conseil départemental. Le système est donc bien opérationnel.

Quelles propositions en faveur de la transparence de la vie politique locale mettrez-vous au débat de la campagne présidentielle ?

D'abord, l'idée de créer un droit de pétition citoyen, comme il en existe au Royaume-Uni, avec le déclenchement, dès qu'est réuni un certain nombre de signatures, d'un débat au Parlement sur le sujet.[…]

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