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Pour lire l’intégralité de cet article, tester gratuitement le Courrier des Maires - édition AbonnéDe même qu’il ne saurait suffire pour lutter contre le dérèglement climatique, le technosolutionnisme ne peut pas plus résoudre l’équation financière de la transition et des fractures territoriales sur son chemin. L’enjeu est aussi social que politique
Les deux ans de la loi « climat et résilience » valaient bien un plaidoyer pro domo... Le 24 août dernier, le ministre de la Transition écologique Christophe Béchu se fendait d’une vidéo de promotion de l’action gouvernementale sur Instagram, listant les actions de l’exécutif à même de garantir (sic) « un avenir où la transition écologique est synonyme de prospérité durable au bénéfice de l’ensemble des Français ». Noble ambition mais qui, pour l’heure, ne résiste pas à l’examen des faits. D’autant qu’avant même d’invoquer une hypothétique « croissance verte » dont tous bénéficieraient, c’est d’abord la vulnérabilité accrue des catégories modestes et des territoires en déprise les plus exposés au dérèglement climatique qui frappe. Selon le rapport de l’économiste Jean Pisani-Ferry, le taux d’effort pour rénover énergétiquement son logement est de 82 % pour un ménage de classe moyenne contre... 146 % pour un ménage très modeste ! Même[…]
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