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Canicules, sécheresses, pollution, déclin de la biodiversité... Les phénomènes justifiant l’urgence d’une transition écologique ambitieuse s’accumulent depuis au moins un an, et semblent maintenant reconnus par la majeure partie de la classe politique. Mais, comme anesthésiés par l’émotion suscitée par ces manifestations soudaines du dérèglement climatique et autres catastrophes environnementales instantanément « médiatisables », d’autres défis environnementaux portent moins. La gestion et le traitement des déchets en est un.
La vision d’amoncellements de poubelles, de détritus, de gravats, mobilise forcément moins les foules. Elle n’est pas aussi propice aux envolées lyriques, notamment de la part du personnel politique, et donc aux annonces d’investissements sonnants et trébuchants.
Immobilisme. Pourtant l’enjeu est là. D’abord environnemental et sanitaire donc, à l’image de ces territoires souillés par des décharges démesurées lorsqu’elles ne sont pas tout simplement illégales. Financier aussi, notamment pour les collectivités, aux premières loges de la collecte et du traitement des ordures ménagères et de leur recyclage. Mais la récente levée de boucliers des élus et de leurs associations face[…]
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