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le Courrier des Maires - édition Abonné
Le gouvernement semble avoir enterré cet été son projet, pourtant prévu par la loi « Pour la confiance dans la vie politique », de créer un établissement public destiné à financer candidats et partis lors des élections. Une erreur à huit mois des élections européennes et dix-sept mois des municipales 2020 ? Sarah El Haïry, députée (Modem) de Loire-Atlantique, et Daniel Fasquelle, député (LR) du Pas-de-Calais, en débattent.
« La banque de la démocratie, c’est un outil qui permettra de garantir un pluralisme politique dans une démocratie en bonne santé. »
Sarah El Haïry, députée (Modem) de Loire-Atlantique
"Ce n’est pas aux banques de décider qui peut être candidat et qui ne peut l’être, quel parti politique doit être financé et lequel ne doit pas l’être ! Dans notre Constitution, il est écrit que les partis politiques concourent à la vie démocratique de notre République et pour cela, il est presque constitutionnel de se doter des moyens de garantir la vie des partis politiques pendant les élections et après les élections. Mais aussi de garantir que tous les citoyens qui souhaitent être candidats et s’engager dans la vie politique puissent le faire.
C’est la condition, si l’on veut demain faire baisser[…]
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