L’accueil par le préfet de la secrétaire d’Etat aux Collectivités territoriales, Estelle Grelier, le 24 juin à Beauvais, aux côtés de la présidente et du vice-président de Villes de France, Caroline Cayeux et Jean-François Debat
© Villes de France
Pour lire l'intégralité de cet article, testez gratuitement
le Courrier des Maires - édition Abonné
Comment reconnaître équitablement les charges de centralité, parfois supportées par davantage qu’une seule ville centre, dans la future dotation globale de fonctionnement (DGF) réformée ? Et éviter de voir ces mêmes villes centres mises en minorité au sein de l’intercommunalité, s’agissant de la répartition d’une dotation de centralité ? Le débat, complexe, a occupé toute la conclusion du Congrès des Villes de France, le 24 juin, à Beauvais.
Si l’association Villes de France avait choisi le sport et la culture comme thèmes principaux des débats de sa convention les 23 et 24 juin à Beauvais, c’est sur le nerf de la guerre que l’association réunissant les villes moyennes a conclu ses assises : les dotations et leur répartition.
Rien d’étonnant à cela trois semaines après l’annonce par le chef de l’Etat du « rabais » concédé au bloc local sur la baisse des dotations et du report de la réforme de la dotation globale de fonctionnement à 2018. D’autant que le débat se focalise au sein de l’association sur la prise en compte des charges de centralité, dont font partie les importants coûts de fonctionnement des équipements sportifs et culturels. Tous équipements abrités, dans ces agglomérations de taille moyenne, par la ville[…]
Pour lire la totalité de cet article, abonnez-vous
Déjà abonné ?
Besoin d’aide pour vous connecter ?
Contactez-nous au +33 1 79 06 70 00 (du lundi au vendredi de 8h30 à 17h30)
ou à l’adresse suivante : abonnement@groupemoniteur.fr