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Pour lire l’intégralité de cet article, tester gratuitement le Courrier des Maires - édition AbonnéUn projet d’arrêté susceptible de faciliter la régularisation des dark-stores a ravivé les tensions entre maires des grandes villes – toutes couleurs politiques confondues – et gouvernement. Soucieux d'élargir la palette de choix des élus face à la prolifération actuelle du « quick commerce », France Urbaine demande à l'exécutif de prendre ses distances avec les lobbyistes du secteur de la livraison et a d'ores et déjà obtenu qu'il revoie sa copie. L’association d’élus, qui tente de faire de cette question juridico-technique un véritable « débat de société », affûte ses arguments, alors que la concertation reprendra mardi 6 septembre.
Empêtré depuis une quinzaine de jours dans une polémique dont il se serait bien passé, le gouvernement devrait bien finir par faire valoir une position claire sur le sujet brûlant des « dark stores ». Difficile, à ce stade, de prédire s’il maintiendra son arbitrage estival favorable à ces nouveaux opérateurs ou rétropédalera sous la pression des élus locaux. Mais, première déconvenue à noter, la ministre chargée des PME et du Commerce ainsi que son homologue en charge de la Ville ont d’ores et déjà accepté de remettre sur l’établi leur texte initial, rédigé de manière trop lâche, qui avait mis le[…]
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