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Pour lire l’intégralité de cet article, tester gratuitement le Courrier des Maires - édition AbonnéHabitat insalubre, loyer trop élevé, prix immobiliers inaccessibles, logements vacants... Les mesures de lutte contre ces dérives du privé peinent à produire leurs effets.
Le parc privé est une autre ressource ; 23 % des ménages français en sont locataires. Mais les obstacles sont là : une proportion d’habitat indigne, des loyers trop élevés par rapport aux ressources des ménages, des propriétaires exigeants sur le profil des candidats à la location… Et des logements vacants, pour une myriade de raisons : mal situés, anciens et peu attractifs, ou volontairement non mis sur le marché par leurs propriétaires. Différentes mesures ont été déployées par les gouvernements successifs pour trouver la parade. Par exemple, les « permis de louer » et « de diviser », laissés à la discrétion des collectivités, font la chasse aux « marchands de sommeil ». Pour aider les propriétaires à rénover un habitat ancien, les opérations programmées d’amélioration de l’habitat (OPAH) sont régulièrement mobilisées, bénéficiant de subventions de l’Agence nationale de l’habitat (Anah) et des collectivités, soumises à des plafonds de ressources. Oui, mais… « Il y aurait intérêt à revoir à la hausse ces plafonds, trop bas pour la[…]
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