Aurélia Troupel, politologue, Université de Montpellier
© I. Bigou-Gilles/ Hans Lucas/LE COURRIER
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Pour lire l’intégralité de cet article, tester gratuitement le Courrier des Maires - édition AbonnéElles sont les grandes oubliées médiatiques face aux omnipotentes élections régionales, et pourtant... Les départementales 2021 sont lourdes d’enjeux à plus d’un titre, à l'issue de ce mandat qui a expérimenté la nouvelle carte cantonale et les binômes paritaires d'élus. Explications avec la politologue Aurélia Troupel, professeur à l'université de Montpellier et spécialiste du département et de ses hérauts.
Après ce premier mandat de conseillers départementaux (2015-2021) ayant remplacé les historiques conseillers généraux, quel bilan faire de la réforme électorale de 2013 ?
Avec la réforme de 2013, tout avait été fait pour que les assemblées départementales vivent un petit séisme. Jusqu’alors, les conseillers généraux étaient les seuls élus à n’avoir jamais connu d’évolution de leur mode d’élection. La collectivité était alors inamovible, notamment sur la parité. Le scrutin de 2015 a tout chamboulé, avec un renouvellement intégral et non partiel, ce qui a aussi eu un impact sur la politisation de ces assemblées. La réforme devait en cela apporter plus de lisibilité, cela n’a pas été trop le cas.
La parité imposée a-t-elle été l’élément central de cette révolution électorale ?
Cela n’a pas été[…]
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