Centre-ville, la clé sous la porte
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Pour lire l’intégralité de cet article, tester gratuitement le Courrier des Maires - édition AbonnéOutils anciens, des foncières commerciales ressortent à nouveau de terre un peu partout en France. Si leur mode de fonctionnement est souple, leur ambition - la revitalisation des commerces - impose une forte mutualisation, des compétences pour acheter le bâti, le rénover puis le commercialiser. Les partenaires doivent partager un objectif vital pour la structure : pérenniser les commerces au-delà de la période de soutien aux nouvelles activités.
1- Examiner l’option foncière…. et les autres
Depuis quelque temps, un outil ancien trouve une seconde jeunesse dans les programmes de revitalisation des centres-villes : la foncière commerciale. Dispositif de portage, il organise l’achat, la rénovation puis la revente (ou pas) de commerces. Sa vocation, ambitieuse, est de prendre en charge des locaux qui ne trouvent pas preneur auprès des spécialistes de la promotion commerciale. Dans les villes de taille moyenne, un certain nombre de projets de ces foncières « nouvelle génération » sont en cours, soutenues par le plan Cœur de ville. En lançant l’opération jumelle Petites villes de demain, le gouvernement les a, à nouveau, mis en avant. Elles bénéficient d’assistance d’ingénierie apportée par la Banque des territoires via l’ANCT[…]
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