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Pour lire l’intégralité de cet article, tester gratuitement le Courrier des Maires - édition AbonnéFace à la flambée des factures énergétiques, l’une des voies de la sobriété passe par l’autoconsommation, essentiellement le photovoltaïque. Mais la France est en retard sur ses voisins : fin 2019, 63 314 autoconsommateurs individuels étaient répertoriés contre 1,5 million en Allemagne dès 2017 selon Enedis. Tout projet local doit être travaillé en amont, notamment sur le plan juridique.
1- Débuter par un démonstrateur sur ses propres bâtiments
C’était il y a un an : le Sydela, 700 000 habitants et 180 communes en Loire-Atlantique, mettait en service son premier projet d’autoconsommation collective. Ce démonstrateur a été installé en octobre 2020 sur son siège social à Orvault. « Nous partageons l’électricité avec la commune d’Orvault et Nantes métropole dans un rayon de 200 mètres », explique Gautier Moreau, responsable du service transition énergétique du syndicat. La zone d’énergie partagée réunit à la fois des bâtiments tertiaires et techniques, une salle de spectacle, une aire des gens du voyage, des ombrières photovoltaïques, des infrastructures de recharge et des flottes de véhicules électriques.
L’installation produit 92 kilowatt-crête, soit 92 000 kWh pour un investissement global de 226[…]
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