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Pour lire l’intégralité de cet article, tester gratuitement le Courrier des Maires - édition AbonnéLes prestations accordées aux agents et à leurs familles permettent d’améliorer leurs conditions de vie et de travail. Les élus employeurs disposent d’une grande latitude pour agir dans ce domaine. Décryptage.
Près de quatre collectivités sur dix n’affectent qu’entre 0 et 1 % de leur masse salariale aux prestations d’action sociale. Et seulement 6 % y consacrent plus de 2 % ((Baromètre de l’action sociale 2018 dans les collectivités, réalisé par « La Gazette des communes » avec le Cnas.)). Rien d’étonnant dans le contexte budgétaire actuel. Mais peut-être est-ce un mauvais calcul : ces prestations participent à l’amélioration des conditions de travail et de vie des agents mais aussi à l’attractivité des collectivités. Quoi qu’il en soit, il appartient aux élus, en concertation avec les représentants du personnel, de définir le type d’aide qu’ils souhaitent proposer et les moyens financiers qu’ils veulent y consacrer.
Libre choix
La loi n’impose aucun socle minimal, ni ne dresse de liste de prestations. Celles-ci doivent seulement avoir une vocation sociale. Elles peuvent prendre la forme d’aides directes ou indirectes, collectives ou individuelles, et concerner l’enfance, les vacances, les repas, les transports,[…]
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