Le conseil des jeunes de Strasbourg présidé par Mathieu Cahn
© J. Dorkel/CUS
Pour lire l'intégralité de cet article,
abonnez-vous au Courrier des Maires - édition Abonné
Pour lire l’intégralité de cet article, tester gratuitement le Courrier des Maires - édition AbonnéL’analyse des attentats qui ont touché la France en ce début d’année a souligné que la radicalisation prenait racine dans l’isolement. Pour lutter contre le phénomène d’auto-exclusion, les élus n’ont pas de recette miracle. Afin de restaurer la relation, ils misent sur la proximité et le temps.
« Comment avons-nous pu en arriver là ? » Gilles Leproust, secrétaire général de l’association Ville & banlieue, maire (PCF) d’Allonnes (72), pose la question qui taraude encore, plusieurs semaines après les actes terroristes de janvier 2015, bien des élus, des agents de l’Etat et des Français.
« Dans de nombreux quartiers, la majorité des jeunes se vivent à l’écart. Pour les familles, il y a encore le contact avec la PMI ou les crèches. Mais, dès l’école, ça se complique », analyse Amar Henni, éducateur et chercheur, membre de l’Observatoire international des banlieues et des périphéries. Le constat est aussi rude qu’amer.
« La situation actuelle nous impose une certaine humilité », renchérit Gilles Leproust. Et, effectivement, les élus font preuve de beaucoup de modestie quand ils expliquent comment ils tentent de reprendre contact avec le public jeune.
A lire. Les témoignages de Philippe Rio, maire (PCF) de Grigny[…]
Pour lire la totalité de cet article, abonnez-vous
Déjà abonné ?
Besoin d’aide pour vous connecter ?
Contactez-nous au +33 1 79 06 70 00 (du lundi au vendredi de 8h30 à 17h30)
ou à l’adresse suivante : abonnement@groupemoniteur.fr