© Adobe stock
Pour lire l'intégralité de cet article, testez gratuitement
le Courrier des Maires - édition Abonné
La pyramide des âges ne ment pas. En 2040, les plus de 75 ans représenteront 15% de la population française. Tant mieux, nous disent des associations représentant les seniors, des chercheurs et des élus en charge des personnes âgées, car les « vieux » sont une vraie chance pour les territoires et la société dans son ensemble.
«Dans les années 1980, une émission formidable était passée à la télé : “Le bébé est une personne” avait révolutionné nos représentations sur les tout-petits », rembobine Martine Gruère-Arnaud, ex-professionnelle de la petite enfance. Dorénavant vice-présidente de l’association Old’up, littéralement « Les vieux debout ! », elle s’agace. « Je rêve désormais d’une émission “Le vieux est une personne”… Parce qu’aujourd’hui, nous sommes devenus des objets de soins et non plus traités comme des humains, alors que la dépendance ne touche que 20 % des plus de 85 ans ! »
Pivot générationnel. Pire : l’âgisme, cette discrimination qui consiste à accumuler les stéréotypes négatifs sur la vieillesse, a des effets délétères sur la qualité mais aussi l’espérance de vie des aînés, selon une compilation d’enquêtes mondiales réalisée par la Fabrique Spinoza. Il semble[…]
Pour lire la totalité de cet article, abonnez-vous
Déjà abonné ?
Besoin d’aide pour vous connecter ?
Contactez-nous au +33 1 79 06 70 00 (du lundi au vendredi de 8h30 à 17h30)
ou à l’adresse suivante : abonnement@groupemoniteur.fr