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Pour lire l’intégralité de cet article, tester gratuitement le Courrier des Maires - édition AbonnéAvides d’échanges économiques internationaux, les 22 métropoles françaises ne jureraient que par leur économie locale fondée sur la connaissance. C’est pourtant méconnaitre le rôle primordial d’une économie plus discrète mais essentielle à la vie au quotidien des habitants et au bon fonctionnement des entreprises y siégeant, plaide la géographe et économiste de formation Magali Talandier dans un essai qui décortique cette économie à bas bruit. Chronique.
Fortes de leurs starts-up, de leurs cadres sup’ et actifs hyperqualfiés, hérauts du secteur des nouvelles technologies, tournées vers une économie productive, de la connaissance, friande d’échanges internationaux, les métropoles de l’Hexagone n’auraient donc que peu d’ancrage dans leur tissu économique local ? C’est cette idée qu’elles « se distingueraient par une forme d’élitisme des emplois offerts » que bat en brèche Magali Talandier, économiste de formation et professeur à l’université Grenoble Alpes, dans son dernier ouvrage dédié à « l’économie métropolitaine ordinaire ». Derrière cette dénomination, lumière est faite sur tous ces secteurs essentiels mais négligés des études sur les systèmes économiques métropolitains : BTP, transports, logistique,[…]
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