© ville de Saint-Etienne
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Pour lire l’intégralité de cet article, tester gratuitement le Courrier des Maires - édition AbonnéLille, Saint-Etienne, Nice... Peu connues pour être des terres d’ovalie, ces métropoles ont fait le choix d'accueillir dans deux mois des matchs de la Coupe du monde de rugby qui débutera le 8 septembre en France. Guidées surtout par une stratégie d'attractivité et la volonté de faire profiter le sport local des investissements générés par l’événement.
« Une magnifique fête sportive et populaire, que nous attendons avec impatience ». À l’approche de la coupe du monde de rugby 2023, Martine Aubry, maire de Lille, ne cache pas son enthousiasme. Comme Nantes, Saint-Étienne, Nice et Marseille, des villes n’étant pas particulièrement identifiées comme des terres de rugby, la ville accueillera en octobre plusieurs étapes importantes du tournoi. Cinq matchs de poules se déroulent en terre lilloise. « Nous mettrons en place des animations sportives et musicales à destination du grand public », détaille l’élue. La veille des matchs, plusieurs places emblématiques de la préfecture du Nord deviendront des fans-zones avec, à la manœuvre, la ligue régionale de rugby et les clubs locaux.
Construire une image de marque
Un dispositif ambitieux, pensé pour « que tout le monde puisse profiter de l’événement, » mais aussi comme une[…]
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