Un drone à l'approche d'un village.
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Pour lire l’intégralité de cet article, tester gratuitement le Courrier des Maires - édition AbonnéDans les villages plébiscités par les touristes, la saison estivale marque la multiplication des petits aéronefs téléguidés dans le ciel. Une source de nuisances, pour les habitants locaux, que certaines municipalités tentent de contenir en en limitant l’usage.
C’est un drôle de bourdonnement qui se fait parfois persistant l’été, qui interpelle d’abord avant de vite susciter l’agacement. Ni abeilles, ni cigales mais le son des drones qui flottent dans le ciel. Équipés d’une télécommande, des pilotes certifiés survolent les sites remarquables de France à la recherche des plus belles images aériennes de leurs vacances. Depuis une dizaine d'années, avec la généralisation des formations de pilotage de drone et les prix de plus en plus accessibles, les petits engins à quatre hélices se répandent à grande vitesse.
Mais quand les caméras volantes remplacent les appareils photo en bandoulière, les habitants du bourg déchantent : « On pouvait compter jusqu’à trois drones dans le ciel en même temps et à longueur de journée », affirme Frédéric Decremps, premier adjoint au maire de Saint-Cirq-Lapopie (Lot), l’un des « Plus beau village de France », où se masse chaque année plus d’un million de visiteurs. « Ça[…]
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