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Pour lire l’intégralité de cet article, tester gratuitement le Courrier des Maires - édition AbonnéPénurie d’huile, de farine ou de moutarde.... La crise sanitaire et la guerre russo-ukrainienne ont mis en évidence la vulnérabilité de nos écosystèmes nourriciers. Face au risque de rupture d'approvisionnement, des élus locaux prennent les devants et se forment à la sécurité alimentaire.
En mai 2021, Biriatou (Pyrénées-Atlantiques) fut la première commune de France à inscrire le risque d’approvisionnement alimentaire dans son plan communal de sauvegarde (PCS). Une démarche prônée lors de formation « Résilience et sécurité alimentaire », financée par l’Institut supérieur des élus et animée par Stéphane Linou. Pionnier du mouvement locavore, cet ancien conseiller général de l'Aude intervient dans toute la France, pour aider les collectivités locales à renforcer leur système de production et de distribution alimentaire et à se prémunir en cas de crise.
Il part d’abord d’un constat : « L’absence de résilience provoque des troubles à l’ordre public. » En effet, la pandémie de Covid-19, ainsi que la guerre russo-ukrainienne, ont mis en évidence la dépendance de la France vis-à-vis du commerce extérieur. La population a dû faire face à une succession de pénuries : farine, huile de tournesol, moutarde et la hausse[…]
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