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le Courrier des Maires - édition Abonné
Junk food oblige, la quantité d’emballages augmente dans la rue et les parcs. Les collectivités tentent d'innover pour répondre ce nouveau défi sanitaire urbain.
C’est un effet collatéral de la crise sanitaire. « Les gens ont pris l’habitude de déjeuner à l’extérieur plutôt qu’à leur bureau ou au restaurant », témoigne Sarah Gentil, vice-présidente de la métropole de Limoges. Un phénomène qu’on retrouve dans d’autres villes et qui, ajouté au boom de la junk food, modifie la problématique de la collecte des emballages. La préfecture de la Haute-Vienne a « doublé le nombre de ses corbeilles et il faut désormais passer quatre fois par jour contre deux auparavant », poursuit-elle. Dans le centre-ville comme dans les parcs, des contenants de grand volume proposent surtout le triptyque « emballages, verre, autres déchets ».
Avec des visuels attractifs : bucoliques en bord de Vienne, monuments emblématiques de la ville traités façon Pop art en ville… Dans les lieux où les habitants ont tendance à prendre leur temps (comme les parcs), les corbeilles isolées acceptant le tout-venant ont parallèlement été supprimées pour pousser les habitants à trier. Pas dans les rues où «[…]
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