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le Courrier des Maires - édition Abonné
Menacée par une forme de sur-attractivité, Bordeaux tente d’accélérer la diffusion du tourisme dans l’arrière-pays. Des élus écologistes et socialistes de la métropole vont même jusqu’à faire la promotion de destinations limitrophes, au-delà du littoral et de la ville-centre. Développer l’offre de « tourisme de proximité » permettrait de desserrer les flux de visiteurs. A l’instar de Saint-Emilion, plusieurs espaces touristiques périphériques comptent bien profiter de cette ouverture sur l’extérieur de la « destination Bordeaux » pour engager, elles aussi, de leur propre côté, leurs transitions vers un tourisme plus durable.
C’est une double rupture qui s’engage, dans les stratégies touristiques de Bordeaux Métropole et des destinations avoisinantes de Gironde et de Nouvelle-Aquitaine… Très prisée de la clientèle d’affaires comme des voyageurs domestiques et européens, Bordeaux « restera la destination forte de la place avec ses plus de 6 millions de nuitées (ndlr, Airbnb inclus). La ville-centre aurait néanmoins intérêt à valoriser davantage les sous-destinations que sont le bassin d’Arcachon, la dune du Pilat ou Saint-Emilion », juge, pour le moins intéressé, le vice-président du Grand Saint-Emilionnais en charge du tourisme,[…]
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